Hortus

Conclusion

samedi 30 novembre 2019, par Emile, Jean-René

Conclusion

Il n’est pas une seule de nos sorties botaniques où nous ne rencontrons pas de fruits sauvages comestibles. De notre garrigue à l’arrière-pays, notre région en regorge.

Ils étaient autrefois très recherchés et nos ancêtres, il n’y a pas si longtemps, s’en nourrissaient pour compléter l’ordinaire.
Ces fruits, pour certains (cormes, poires, prunelles), ne peuvent pas être consommés avant les premières gelées. On les cueille alors blets et on en fait de délicieuses confitures.
Très riches en antioxydants, les qualités nutritionnelles des fruits sauvages sont exceptionnelles. Que dire de leur goût et de leur parfum ? Un régal !

L’homme a profondément modifié la structure et la diversité des fruits sauvages, pour en faire des plantes alimentaires. Il l’a réalisé, en transportant, en acclimatant les plantes, parfois de régions très lointaines, et en obtenant, à partir de croisements, des hybrides et des formes plus adaptées à son alimentation.

Qu’ils soient sauvages ou cultivés, les quelques exemples traités auront permis, c’est notre souhait, de voir tout l’intérêt d’observer de plus près les fruits, et de les examiner avec beaucoup de curiosité.

Jean-René Garcia / Émile Duhoux

- Merci à Frédéric Andrieu pour sa relecture

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